Le domaine d’entreprenariat francophone à Brooks peine à se développer contrairement à ce qui s’observe dans d’autres communautés somalienne, soudanaise, philippine, indienne, etc.

En examinant de près cette situation, on se rend compte que les entrepreneurs francophones ont besoin de renforcement des compétences dans la gestion de petites et moyennes entreprises, mais aussi et surtout besoin d’accès au financement du gouvernement du Canada.

Beaucoup de francophones qui se lancent dans l’entreprenariat finissent par fermer les portes de leurs petites entreprises.

Vu le nombre très réduit de francophones qui se lancent dans l’entreprenariat, faire venir des spécialistes du CDEA pour le renforcement des capacités de ces derniers s’avère très couteux.    Devant cette réalité, serait-il possible d’envisager à l’avenir des séances de formation individuelles.